L’hôpital privé des Peupliers, un établissement pluridisciplinaire
Fort de sa longue histoire, l’hôpital privé des Peupliers, situé au sein du 13e arrondissement de Paris, garantit à ses patients une offre de soins diversifiée et adaptée, grâce à ses plateaux techniques de haut niveau, aux compétences et au savoir-faire de ses équipes. Il dispose de 260 lits et places et accueille 25000 patients par an.
Un établissement qui répond aux priorités de santé publique
Le Centre de Santé permet l'accessibilité aux soins pour tous. Le pôle de chirurgie générale et de proximité assure la prise en charge de tous les patients.
Seul centre de cancérologie privé parisien, doté de toutes les techniques de diagnostic et de traitement sur un seul site, l’hôpital privé des Peupliers s'applique également à développer tous les soins de support liés à cette maladie.
La rééducation fonctionnelle-balnéothérapie, indissociable de l'activité orthopédique, a rendu possible le développement d'une filière spécifique de l'appareil locomoteur.
Une longue expérience au service des patients
L’hôpital privé des Peupliers est né en 1908 de la création d’un hôpital-école par la Société de Secours aux Blessés Militaires (SSBM), une émanation de la Croix-Rouge Internationale. À l’origine, il s’agissait d’un dispensaire de 25 lits, destiné prioritairement à constituer une école pour former les infirmiers diplômés d’État.
Au plus près de la vie des Parisiens, l’hôpital prendra en charge en 1910 les sinistrés de la grande crue de la Seine et, pendant la Première Guerre mondiale, 2 500 blessés de guerre. La capacité est alors portée à 120 lits.
À partir de 1950, l’hôpital s’agrandit (construction d’un bloc et élargissement de l’école). Le service de rééducation fonctionnelle est créé dès 1964. La deuxième phase d’agrandissement se déroule à partir de 1970. Depuis lors, l’hôpital, racheté par Générale de santé en 2006, n’a cessé de mettre les soins et le bien-être des patients au cœur de ses priorités, s’équipant d’un centre de chimiothérapie en 2007, d’un service de soins de suite oncologique en 2009, d’une IRM en 2011, et ouvrant en 2012 un service de radiothérapie et en 2014 un service de consultations non programmées.